JE CHERCHE…
Je cherche l’impossible : une
cristallisation du bonheur,
une plénitude qui ait
caractère définitif,
où tout se terminerait
là :
dans cette satisfaction
ronde, absolue, lisse à l’instar
d’un abandon d’enfant qui dort.
Je cherche cela : à fixer
ce bien-être vaste et profond
qui apaise, étend, élargit
le souffle aux dimensions
du monde.
Je voudrais que le temps s’englue,
bute contre ce dense état
de jubilation, de trop-plein
où l’on se sent
comblé, complet,
illuminé de l’intérieur
par un sourire sans question,
sans demande, dont l’inertie
un peu idiote, j’en conviens
sait
se suffire à elle-même.
10/03/2008.
Je cherche l’impossible : une
cristallisation du bonheur,
une plénitude qui ait
caractère définitif,
où tout se terminerait
là :
dans cette satisfaction
ronde, absolue, lisse à l’instar
d’un abandon d’enfant qui dort.
Je cherche cela : à fixer
ce bien-être vaste et profond
qui apaise, étend, élargit
le souffle aux dimensions
du monde.
Je voudrais que le temps s’englue,
bute contre ce dense état
de jubilation, de trop-plein
où l’on se sent
comblé, complet,
illuminé de l’intérieur
par un sourire sans question,
sans demande, dont l’inertie
un peu idiote, j’en conviens
sait
se suffire à elle-même.
10/03/2008.
2 comments:
De jolis mots qui rêvent sur la page.
je rêve
Fabrice
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