Le poème qui suit, daté de 2002, est extrait d'un cycle intitulé "Samson" et dont plusieurs poèmes ont été publiés, dont celui-ci dans la revue Diérèse.
Le prix de l'amour
Montre à chaque fois la réalité de plus près
Comme un souffle glacial
Un corps qui ne ment plus
Enfin mort
Il s'abat
Rendu rapace
De la rapacité d'une femme
Qui tourne en mante noire
Au dessus de la perfection d'un visage
Sans que les yeux du désir
Soient tués
Les draps du sommeil
Remontent sur son ombre
La côte de sable qui efface les apparences de la vie
Ne laisse plus qu'une masse
Complètement morte
Le marteau d'une porte qui se ferme
Sur une musique de Joy Vains "In my old house" via Dogmazic, site de musique sous licence libre : https://www.dogmazic.net/
Le prix de l'amour
Montre à chaque fois la réalité de plus près
Comme un souffle glacial
Un corps qui ne ment plus
Enfin mort
Il s'abat
Rendu rapace
De la rapacité d'une femme
Qui tourne en mante noire
Au dessus de la perfection d'un visage
Sans que les yeux du désir
Soient tués
Les draps du sommeil
Remontent sur son ombre
La côte de sable qui efface les apparences de la vie
Ne laisse plus qu'une masse
Complètement morte
Le marteau d'une porte qui se ferme
Sur une musique de Joy Vains "In my old house" via Dogmazic, site de musique sous licence libre : https://www.dogmazic.net/
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