SELECTION DE TEXTES ISSUS DU POEZINE TRACTION-BRABANT, FANZINE DE POESIE, CHRONIQUES LITTERAIRES ET ARTISTIQUES ET AUTRES TEXTES COURTS, CREE EN JANVIER 2004 DANS SA VERSION PAPIER
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C'est la fin de Traction-brabant
Tout est expliqué dans le document ci-après (cliquer sur l'image pour davantage de lisibilité) :
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Kelig Nicolas vient de créer son blog de textes et surtout de dessins et tableaux. Un blog 100% émotionnel avec un beau titre "au fil ...
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Le numéro 108 de "Traction-brabant" est vendu au prix de 3 €. Alors, ne vous privez pas. Des exemplaires des anciens numéros sont ...
9 comments:
Cé qui?
Je suis contente d'avoir retrouvé votre beau bonnet.
C'est Cousteau et couche-tard
on voit une les pattes d'une araignée sur le "plafond" de la traction (message crypté)
Salon de l'automobile porte de Versailles 2007 Vive la marche à pied!
Le pus dur c'est de peindre les trous
Je reconnais des hommes de la bande à Bonnet...
"Vous faites une bonne affaire! Ma tête vaut cent mille francs, chacune des vôtres sept centimes et demi. Oui, c'est le prix exact d'une balle de browning!"
Déclaration de Callemin aux policiers venus l’interpeller
(un type de l'ancienne bande qd il y avait Jean remplacé aujourd'hui par Henry)
Fabrice
Dire que l'un décrochera un prix Nobel (de sa corde) et que l'autre sera le premier homme à courir sur Vénus(et découvrira d'ailleurs les fameux haricots de Vénus). A propos de la bande à Bonnet –abonnez-vous…Je ne nomme pas la revue, la publicité est interdite sur le site de l'excellente revue Traction Brabant.
Le revuiste vient de sortir de chez lui et aussi un recueil chez Gros Textes, inutile d'en dire davantage, chez Gros Textes donc, illustration de quelqu'un que je ne veux pas nommer.
Dans TB j'ai déjà vu les illustrations de Patrice Vigues, de celles qu'on n'oublie pas.
Fabrice
Au poète inconnu qui crame sous l'arc du triomphe ( à l'usage des comités de lecture)
Ce poète me sort par les trous de nez. "Pour les amateurs de solutions faciles", et aussi le plaisir de citer André Breton, je dis vite que je suis jaloux du succès qu'il rencontre, de l'unanimité qu'il recueille dans la littérature marginale, celle dans laquelle je patauge. Oui, c'est un peu compliqué, ce poète a tout pour plaire, il aurait sa place dans les émissions littéraires de la télé, le catalogue des grandes maisons de vente, et pourtant il ne décolle pas de la marge, Je suis bien obligé de constater, qu'au sein des formes d'exclusion les plus subtiles (rires), il se crée parfois des consensus autour d'un exclu, un grumeau de bannis grossit sur un proscrit. Chacun hurle Ô merveille, à chaque bout de phrase pondue par cet atome au parage duquel gravitent des fantômes, très éloignés des toquades de électron libre…
Chaque jour, sont déversés à ses pieds des tonnes de panégyriques, des semi-remorques d'éloges, des wagons de dithyrambes…
Et ce qui m'écœure chez lui, ce sont ses textes, du moins ce qui ressort d'allégeance à la société dans l'apparente rébellion de son style –ce fond lèche-cul ramassé sur la barricade du vocabulaire. Quand même un mérite à tout cela: je comprends qu'il est impossible de sortir du piège par des marginalités qui ont pignon sur rue, qui sont vendues sous cette étiquette. Cette marge, est la forme déguisée d'une tentative de réinsertion des individus éloignés un temps du troupeau, une récupération insidieuse, une poésie de l'anti voyage au bout de la nuit.
De la merde.
Fabrice
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