Friday, February 06, 2015

Le comité de lecture

9 comments:

Anonymous said...

Cé qui?

Mauricette Beaussart said...

Je suis contente d'avoir retrouvé votre beau bonnet.

Anonymous said...

C'est Cousteau et couche-tard

Anonymous said...

on voit une les pattes d'une araignée sur le "plafond" de la traction (message crypté)

Anonymous said...

Salon de l'automobile porte de Versailles 2007 Vive la marche à pied!

Traction-brabant said...

Le pus dur c'est de peindre les trous

Anonymous said...

Je reconnais des hommes de la bande à Bonnet...

"Vous faites une bonne affaire! Ma tête vaut cent mille francs, chacune des vôtres sept centimes et demi. Oui, c'est le prix exact d'une balle de browning!"
Déclaration de Callemin aux policiers venus l’interpeller

(un type de l'ancienne bande qd il y avait Jean remplacé aujourd'hui par Henry)

Fabrice

Anonymous said...

Dire que l'un décrochera un prix Nobel (de sa corde) et que l'autre sera le premier homme à courir sur Vénus(et découvrira d'ailleurs les fameux haricots de Vénus). A propos de la bande à Bonnet –abonnez-vous…Je ne nomme pas la revue, la publicité est interdite sur le site de l'excellente revue Traction Brabant.
Le revuiste vient de sortir de chez lui et aussi un recueil chez Gros Textes, inutile d'en dire davantage, chez Gros Textes donc, illustration de quelqu'un que je ne veux pas nommer.
Dans TB j'ai déjà vu les illustrations de Patrice Vigues, de celles qu'on n'oublie pas.

Fabrice

Anonymous said...

Au poète inconnu qui crame sous l'arc du triomphe ( à l'usage des comités de lecture)

Ce poète me sort par les trous de nez. "Pour les amateurs de solutions faciles", et aussi le plaisir de citer André Breton, je dis vite que je suis jaloux du succès qu'il rencontre, de l'unanimité qu'il recueille dans la littérature marginale, celle dans laquelle je patauge. Oui, c'est un peu compliqué, ce poète a tout pour plaire, il aurait sa place dans les émissions littéraires de la télé, le catalogue des grandes maisons de vente, et pourtant il ne décolle pas de la marge, Je suis bien obligé de constater, qu'au sein des formes d'exclusion les plus subtiles (rires), il se crée parfois des consensus autour d'un exclu, un grumeau de bannis grossit sur un proscrit. Chacun hurle Ô merveille, à chaque bout de phrase pondue par cet atome au parage duquel gravitent des fantômes, très éloignés des toquades de électron libre…
Chaque jour, sont déversés à ses pieds des tonnes de panégyriques, des semi-remorques d'éloges, des wagons de dithyrambes…
Et ce qui m'écœure chez lui, ce sont ses textes, du moins ce qui ressort d'allégeance à la société dans l'apparente rébellion de son style –ce fond lèche-cul ramassé sur la barricade du vocabulaire. Quand même un mérite à tout cela: je comprends qu'il est impossible de sortir du piège par des marginalités qui ont pignon sur rue, qui sont vendues sous cette étiquette. Cette marge, est la forme déguisée d'une tentative de réinsertion des individus éloignés un temps du troupeau, une récupération insidieuse, une poésie de l'anti voyage au bout de la nuit.
De la merde.

Fabrice

C'est la fin de Traction-brabant

Tout est expliqué dans le document ci-après (cliquer sur l'image pour davantage de lisibilité) :