« Notre esprit est un dôme brûlant, vitrifié où cuisent des systèmes solaires » Dionysos.
inclinaisons du matin ; regardant à travers le jour les horizons pâles, teints du blond des flammes, salutations de brasiers que célébraient les Anciens ; dont le sang court sec dans nos veines.
Visages défoncés d'hommes et de femmes
sur les banquettes arrières de taxis, cargaisons en suspens - aux mille entreprises
païennes, cultes à Mystères, rivières tremblantes, gorgées de Larmes, d'Amour
et de Bonheur oubliés, – moustiques aux yeux percés par la came,
ILS cherchent un endroit où
s'éteindre,
soleils
gonflés de poison, bleus océans d'acier.
Nous
avons perdu tout contrôle.
Toutes
nos connexions, brisées
hurlant
dans le jardin séculaire, gardien d'ombres aux pardessus de nacre ;
Elles regardaient à travers les fenêtres
du ciel et cherchaient
un
cœur, une âme,cherchaient une vie, des yeux, des lèvres,
des corps, des mains, des parties génitales à embrasser sous le flambeau de l'Amour.
Retrouvé quantifié par des nabuchodonosors étoilés, des missives cosmiques et des tremblements mystiques,
luxuriances – luxuriances enlinceulées de soleil.
Amour, vision surnaturelle de jeunes
hommes se glissant dans les artères de la cité de plomb,
sous les vitrines glacées d'anges
déchirés par la tristesse des Cieux, sans larmes dans le carnavalhumain, les masques se défont, il y a
Délivrance.
des carrousels fissurés, fumants,
passant derrière nos paumes dressées, silhouettes géantes transpirant la
pureté, crachant une saignée en larmes d’argent et d’étain,
amantes sublimées des mille-et-une
sangsues célestes, lueurs d'au-delà créatrices de séraphins, de tempêtes
secrètes et d’idiomes tirés à quatre épingles par les yeux du couchant.
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