Le Rimoir aux Alouettes
Las
de ces rêves clinquants
A
portée de nain, le pain
Et
les « Je » déifiés, noyés
Dans
le Cirque clinique
De
la vie Miroitée. Alouette
Je
te brûlerai, si le temps
Y
était...
Car
la nuit nous chante ces rancœurs
Dame !
Nous en pleurons encor'
Par
la suie teintées nos âmes
Aux
angoisses d'espoirs s'avilissent
Quand
prostrés deux drames hâtifs
Crissent
leurs corps abrasifs
-Peur
d'ennui nous fend le cœur-
Tant
et tant tentée par la tonte
Bêler
ma belle ne t'a pas libérée
Ris
de plus belle à défaut de briller
Brides
et œillères fièrement arborées
On
se saurait rebelles sans devoir y songer
Oublier
le libelle « produit non contractuel »
En
attendant l'été...
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