De Jean-Pierre Givord (extrait de T-B 108)

Le pas des routes 

Sur ces pas, cet âne, son cap sur Fez, yodlait maintes alarmes sonnant sourdes, parfois restées simples leurres. Cupides sirènes sorties d’âpres rochers, imitant quelque vieille effigie, ici des pas ont été tus, gai bip bip, ode des mix, son pur, qui par son air, Qi de ce fa ou ce do en ut, tristes oiseaux envolés, dociles, devenus soudain blanche lumière anonyme. Les box aux ors nus, une vue, des sas, réelles mesures avisées, souvent légères, figeant partout l’avide formule oblique. Je, el, le, la ou SA du PV n°… Maj. 50%, les dus, les RIB, ici les TIP. Auguste, l’autre rebelle, d’après l’heure tardive baguant l’amère attache, garda comme ancré, qu’il était foutu, fichu flash boite. Sillons glissés, ceux-ci étirant l’ombre macadam, longues vipères rurales, chaque éclair argent siffle, surgit d’amis fossés pleins d’écus. Partout invités, moult travaux amènent passage, lézarde, couloir, équipée, curent par-ci par-là toutes routes pliées, lésion pistée, tracée. L’agent safrané, affable, matinal, oriente l’hydre décidée, savante, dressée. Toute photo prise écrit l’art assez barré d’une image, heurtée, exposée, floutée, pendant quelque passage, imberbe, réduite, pâlotte. Pas lus, pas vus, par son bug, les : LNM, NM 36 KJ, LM 38 KI, LE 38 LJ… Chambre obscure captant l’ombre occulte, sauvage virgule, fuyante lecture. Sur une vie, une vue, des dos nus. Les maigres animaux errants courent, devenus pseudos clichés, hérauts vivants. Un mi do de ce fa ou de Qi, roi par son cri qui tue, son dur duo, pas par pas, qui sue, met des gaz, qui jaillit furieux, voulant abattre l’aride monstre, sortant l’acide éthique, étrange pochade orangée, voilure d’odeur soufrée, d’agile bad boy. Zen cet âne, son pas usé, par sol ras.