Traction-brabant 20

Nonobstant le paradigme flou du syntagme asymétrique, il est évident que l’être, dans son incomparable soif d’altérité, s’est soumis aux prolégomènes de la matérialité induite.
Ce diktat consumériste hic et nunc a forclos le divin dans une concaténation sur mesure de tautologie identitaire, ce qui a eu pour effet principal de rejeter le logos vers l’antépénultième extranéité du marasme.
Il n’est d’ailleurs pas jusqu’au silencieux dasein qui ne doive être explicité davantage à la lumière du dire.
Alors que les infinis de la progestérone nous larguent une asthénique prolifération d’affects, l’ordre et le chaos amènent dans leur holographie souterraine l’impérieuse synthèse servant de miroir jaspinant sa martyrologie sur l’amer d’une oraison pascalienne.
Et dans ce souverain désir illuminé, pour ainsi dire in girum, au cœur matérialisé de notre réceptacle divers, la bestialité se décline par delà le syndrome oulipien des chances.
Par ailleurs il ne faut jamais inférer, plus loin que cette atrabilaire négation de signes l’exprime, les signaux rémanents régressant vers des symboles d’aversion versatiles.
Ainsi, la geste d’une littérature inamovible sert-elle de contresens aux incertains paradoxes du silencieux inspir expir pour la fratrie aimantée par l’infra réalité des abîmes.
Ce théorème du corpus alenti nous amène fort logiquement à soustraire de l’astringente cosmogonie l’osmose agissante au fur et à mesure que le gai savoir trouve davantage à se distendre.
Par quel mascaras orgiaque du nombre me direz-vous ?
Je vous répondrais qu’à cela ne tienne si l’infatué public compatit dans le sémantique horizon des labiales.
P.M.