SOUS LES VERGETURES
La liberté commence toujours au-delà des frontières du langage et des mots, stéréotypes conventionnels aux arômes de chaîne et boulet. Pas de voyage ou d'odyssée dans les mots, juste des croisières dans les strates frigides des formalismes désuets, des courses sans jouissance au rayon charcuterie des supermarchés de la promise cuitée. Les cavaliers de Gengis montent le vent à cru, dans le sang et les massacres, langoureux archers à la foudre d'escampette, pillant les dictionnaires, remodelant les encyclopédies, brûlant les bibliothèques. Des vieillards au teint cireux regardent passer les mouettes transluminiques, crachant leur salive de plomb dans le sillage mordoré de ces alluvions du délire, abraseurs de syntaxe et défloreurs de pensées mécaniques qui repeuplent d'outardes carnivores les culs-de-basse-fosse de la littérature de comptoir.
La liberté commence toujours au-delà des frontières du langage et des mots, stéréotypes conventionnels aux arômes de chaîne et boulet. Pas de voyage ou d'odyssée dans les mots, juste des croisières dans les strates frigides des formalismes désuets, des courses sans jouissance au rayon charcuterie des supermarchés de la promise cuitée. Les cavaliers de Gengis montent le vent à cru, dans le sang et les massacres, langoureux archers à la foudre d'escampette, pillant les dictionnaires, remodelant les encyclopédies, brûlant les bibliothèques. Des vieillards au teint cireux regardent passer les mouettes transluminiques, crachant leur salive de plomb dans le sillage mordoré de ces alluvions du délire, abraseurs de syntaxe et défloreurs de pensées mécaniques qui repeuplent d'outardes carnivores les culs-de-basse-fosse de la littérature de comptoir.
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