le clandestin
le talus de la mer plisse
ses yeux ne pas le boire
se dit-elle il sent le crin
du sable le soleil
a trop muré son corps
et la nage l’évade
le sel le retient
sa fièvre ressent la liberté
l’acrimonie à gommer
la joue du talus se creuse
sa tête est une proue
sa brasse a bouche ouverte
il a faim de s’enfuir
No comments:
Post a Comment