Wednesday, July 22, 2009

De François Ibanez (extrait de T-B 65)

UN AILLEURS QUE JE CONNAIS

Les cimes au loin
De blancheur et de froid
Caressent un ciel de marbre
Je me vois
L’air pur
Le bois brun de cette bergerie
Je traverse en silence
Un lieu ailleurs
Que je connais pourtant
Un souvenir
Un rêve
Une idée
Un souffle ailé
Qui vient m’étreindre
Quand je suis éveillé

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