Désintégration,
La terre tremble sous mes pieds,
La lave éclate les pavés,
J'avance alors pour échapper,
À ta présence qui fait mal,
À ton amour mi- animal.
Tu désintègres dans tes danses,
Mes synergies, mes énergies,
Puis par magie,
Puis par démence,
Tous mes abris,
Mes joies intenses,
Mes chants d'amour,
Mes influences,
Et pour finir, mes couleurs denses.
Tes yeux, je crois, sentent l'enfer,
Ton cœur crois-moi n'est que de fer.
Je sens tous les maux me ronger,
Le soleil se fait lourd
Et le vent carnassier…
C'est l'horreur rouge sang
Qui nous a inondés.
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